Fatiha Dazi-Hni Origine

Publish date: 2024-06-24

Fatiha Dazi-Héni Origine – Scientifique en sciences politiques avec un doctorat. de l’Institut d’études politiques de Paris et spécialiste des monarchies de la péninsule arabique et du golfe Persique à l’Institut d’études stratégiques de l’Académie militaire française (IRSEM) à Paris. Elle est chargée de cours à Sciences Po Lille, où elle enseigne l’histoire sociale et politique de la péninsule arabique.

A participé et continue de collaborer à une grande variété de conférences internationales traitant des questions de statut d’État et d’affaires dans la péninsule arabique ainsi que de sécurité et de stratégie dans le Golfe et au Moyen-Orient.

Après avoir obtenu son doctorat sur « Participation politique et mobilisation sociale au Koweït » à l’Institut d’études politiques de Paris, Fatiha Dazi-Héni a travaillé comme chercheuse associée au CERI à Paris puis au CERMOC à Amman.

Depuis 2014, elle passe son temps à l’IRSEM, l’Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire de Paris, à étudier les questions relatives à la péninsule arabique, au Golfe et au Moyen-Orient. Elle enseigne actuellement l’histoire et les mutations sociopolitiques de la péninsule arabique à Sciences Po Lille.

Ses principaux domaines de recherche et d’étude comprennent les questions régionales et de sécurité impliquant les États du Conseil de coopération du Golfe (CCG) et les États du golfe Persique, le Levant, l’Égypte et la Corne de l’Afrique, ainsi qu’une analyse des régimes monarchiques de la péninsule arabique, avec un focus sur le Royaume d’Arabie Saoudite. Les préoccupations théoriques et transversales telles que la propagation de l’autoritarisme, du populisme ou de la désinformation sont également intéressantes.

Assistance avec d’autres livres:

À quoi s’attendre des États du CCG sous l’administration Biden, au Moyen-Orient Selon Joe Biden, Hasni Abidi, réalisateur ; Genève; CERMAM ; Erik Bonnier; 15 avril 2021. « Les monarchies du Golfe : la guerre de l’information pendant la crise de juin 2017 », in Céline Marangé et Maud Quessard (dir.), Information Wars in the Digital Age, PUF, 2021, pp. 203-227.

“Pourquoi une guerre entre l’Arabie saoudite et l’Iran est très improbable”, extrait de “Le monde est plus dangereux que vous ne le pensez”, de Paul Kildea. Pages 74-78 sur 25 Questions pour avoir votre avis Publié par Armand Colin à Paris, France en octobre 2017. Réalisé par Sonia Le Gouriellec. Dans Olivier Da Lage (éditeur), Nationalismes religieux – Moyen-Orient, L’Harmattan, décembre 2020, 112 pages, j’aborde le rêve de Mohammed ben Salmane d’une Arabie Saoudite unifiée, intitulé La Nation saoudienne rêvée.

Publications IRSEM :

Selon un rapport français, “La politique pétrolière de l’Agence saoudienne et eurasienne de l’énergie (EAU) dans le cadre de l’OPEP+ met en évidence les disparités d’intérêts avec les puissances occidentales”. Pour la note stratégique de l’IRSEM no. 47 en l’an 2022, voir la Brève stratégique n° 47 de l’IRSEM.

Fatiha Dazi-Héni Origine

« Comment comprendre le refus des Émiratis et des Saoudiens de rejoindre le « camp de l’Occident » sur la guerre d’Ukraine », Brève évaluation stratégique n°36 de l’IRSEM (2022). (Étude en anglais) “Arab Saudi Arabia: Betting on Mohammed bin Salman’s Youth,” IRSEM Etude No. 80, May 2021. (Original French) Document de recherche traduit

Entre la crise du Covid-19 et la guerre des prix du pétrole, IRSEM, 2020, Brève Note Stratégique n°3. Dont Sonia Le Gouiellec, « La Mer Rouge : nouveaux défis sécuritaires indépendants entre les États du Golfe et la Corne de l’Afrique », Note de recherche IRSEM 75 (avril 2019). Oman : Défis internes et défis régionaux au lendemain du départ du sultan, 20 juin 2017, www.defense/irsem.fr, IRSEM, Note de recherche n°41.

IRSEM, « Note de recherche n°34 : La présidence Trump vue par le monde », 2017

Scientifique en sciences politiques avec un doctorat. de l’Institut d’études politiques de Paris et spécialiste des monarchies de la péninsule arabique et du golfe Persique à l’Institut d’études stratégiques de l’Académie militaire française (IRSEM) à Paris. A enseigné à la Sorbonne Paris 1 ainsi qu’à Sciences Po et Sciences Po Lille.

A participé et continue de collaborer à une grande variété de conférences internationales traitant des questions de statut d’État et d’affaires dans la péninsule arabique, ainsi que de sécurité et de stratégie dans le Golfe et au Moyen-Orient.

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En cas de demande d’agrément, A l’occasion de la visite en France de Mohammed Ben Salman “MBS”, l’héritier de la dynastie Saoud, les 9 et 10 avril, plusieurs universitaires et spécialistes, contactés par Le Monde, ont offert leur regard sur un pays en pleine réorganisation stratégique.

Tribune. Trois mois après avoir succédé à son demi-frère, le feu Souverain Abdallah, le roi Salmane a décidé de rompre l’équilibre structurel sur lequel reposait le modèle de la monarchie saadienne. Avec la mort du roi fondateur, Ibn Saoud, en 1953, le pouvoir a été partagé entre les princes supérieurs, qui gèrent leurs fiefs ministériels respectifs en utilisant l’argent des accords familiaux.

Dès avril 2015, le roi Salmane avait remanié la ligne de succession en limogeant le prince héréditaire Mouqrin, que le roi Abdallah avait nommé le 27 mars 2014 comme vice-prince héritier (numéro trois derrière Salman, alors prince héritier), et en le remplaçant par le prince Mohammed Ben Nayef (« MBN »), ministre de l’intérieur influent et respecté parmi ses pairs et le clergé.

Il organise le transfert du pouvoir aux princes de la troisième génération, les petits-enfants du monarque d’origine, éliminant le principe d’ancienneté qui avait sacrifié un groupe de princes plus âgés, dont son frère le cadet le prince Ahmed, pour assurer le trône.

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