Matthieu Valet Origine

Matthieu Valet Origine – Matthieu Valet voit la proximité avec Marseille comme un avantage, déclarant : « Nous gérons avec efficacité le flux qui vient de Marseille ou même d’ailleurs avec les vacances. Tout comme la brigade anti-criminalité de Marseille et moi avons démantelé un petit hotspot de vente de drogue dans le quartier des Matagots le 5 juillet dernier. L’un des deux quartiers, avec Les Abeilles, où nous ciblons notre comportement après avoir reçu des conseils de citoyens, d’élus et d’entreprises alliés concernés.

Ce mois de juin 2020, “Le Maine Libre” interroge Walid (un nom d’emprunt), un membre du commissariat central du Mans qui se tient debout dans la rue pendant son service. Originaire du Maghreb, il répond aux affirmations selon lesquelles la police est raciste et brutale.

Une belle leçon de civisme. Walid (nom d’emprunt) est un policier né au Maroc de parents non musulmans. Rattaché à la Cellule Voies Publiques du Commissariat Central du Mans, il a servi dans plusieurs branches des armées françaises.

Avant, il semblait qu’il y avait des contrôles juste devant. Le quadragénaire répond “mais c’est impossible, car il y a un cadre légal, et la hiérarchie peut être sans pitié envers un agent qui porte atteinte à la réputation de la profession”. La police n’est ni raciste, ni fasciste, ni violente ; au contraire, il existe uniquement pour protéger le public.

L’humoriste Mathieu Kassovitz a une nouvelle fois montré qu’il n’était pas du genre à consommer de la drogue et à parler en code. Lors d’une table ronde de LCI lundi 10 mai sur la sécurité française, le policier Matthieu Valet a évoqué un vieux tweet controversé dans lequel l’invité insultait les forces de l’ordre. Cela a fait sortir l’invité de sa coquille.

Un blabla sans valeur ?

Après une saisie de drogue à Nantes, en Loire-Atlantique, en France, le réalisateur a posté un message sans équivoque sur Twitter en décembre 2017. Vingt et un agents ont participé, et ils n’ont réussi à trouver que sept grammes de concentré de cannabis. Bande de voyous”, avait écrit l’acteur. 7g !!! Vingt-quatre agents !! Vous faites tous une belle bande de vauriens. Après cela, quinze agents ont porté plainte contre lui pour “outrages”. Plus tard, Mathieu Kassovitz a offert une explication au public.

Mais l’incident ne semble pas avoir été oublié. Le secrétaire national adjoint du Syndicat des policiers indépendants commence : « Vous avez dit que vous êtes quelqu’un de milieu assez aisé et que vous habitez Vincennes.

Je suis curieux de savoir pourquoi vous êtes allé jusqu’à appeler les policiers “bâtards” alors que, d’après ce que je vois, ils ne vous ont jamais rien fait de mal.Pour se défendre, Mathieu Kassovitz a déclaré que tout cela était un canular et que son message sur les réseaux sociaux n’avait aucun poids.

L’organisateur syndical n’a pas été impressionné par l’acteur et a plutôt imposé le clou. Mais qu’est-ce qui vous a poussé à prendre son parti contre des policiers que vous ne connaissez pas et qui ne vous ont fait aucun tort ?

Son temps en tant que Peacekeeper lui a donné l’opportunité de développer une solide personnalité policière. Matthieu Valet, tout de 32 ans, poste un CV conçu pour faire flop. Il y avait une touche solennelle à l’inauguration d’hier du nouveau commissaire de circonscription. En réalité, le flic natif de Lille est un jeune diplômé de la prestigieuse école du Mont-d’Or, l’École de Saint-Cyr.

Selon Emmanuel Groult, il y a deux jours à peine, il a été honoré par Gérard Collomb, le ministre de l’intérieur venu fêter sa 68e promotion. En revanche, Matthieu Valet est un vrai homme de la terre. Il y a quatorze ans, il est diplômé de l’École nationale de police de Saint-Malo en tant qu’officier de paix de la promotion.

Après ses études, il s’engage dans la Brigade du Roulement de jour et se présente à Garges-lès-Gonesse (95). Rendez-vous ensuite à Clichy Sous-Bois (93), ou peut-être Saint-Denis (93), pour vous renseigner sur d’autres problématiques de la région.

Diplômé de la prestigieuse Académie militaire de Cannes Écluse avec le grade de “lieutenant sacré”, il décide de poursuivre une carrière d’officier de nuit dans le quartier branché de Barbès, dans le 18e arrondissement de Paris. Ici, Matthieu se démarque une fois de plus. Il envisage de s’inscrire à l’école du commissaire avec l’approbation de ses supérieurs.

Désormais, les Ciotatiens le décrivent comme “déterminé et motivé”. Dès son arrivée, il entend, « travailler avec les collectivités, le CIQ, les acteurs locaux (champs de bataille, entrepreneurs Athelia, commerçants, etc.). C’est déjà le cas. Le projet ciotaden consiste à trouver comment mieux assurer la paix entre les personnes en impliquant tout le monde.

Car il est admirable que le commissaire veuille diriger “une police disponible dans le traitement des problèmes de sécurité des gens ordinaires”. Quelque chose de réel auquel les agents de sécurité pensent chaque jour et auquel le ministre de l’intérieur tient beaucoup. J’apprécie l’accueil chaleureux que m’ont réservé mes nouveaux collègues. Notre travail nécessite un dévouement total et une abnégation.

Je tiens également à remercier Séverine Lucienne, qui a mené l’enquête après le départ de Catherine Lenzi, comme me l’a révélé le commissaire. La police est un grand navire qui a besoin d’un capitaine. Mais un groupe aussi. C’est le moins que l’on puisse faire pour la République. Je pense aux policiers tombés au combat qui se sont battus pour notre liberté et se sont dressés contre la barbarie. Nous rencontrons beaucoup de difficultés en ce moment », dit-il.

Le maire, Patrick Boré, a accueilli le nouveau commissaire de police. Vous êtes entré dans une petite ville. Tout le monde se connaît. Les gens s’entendent bien. Ici, on se prend au sérieux mais pas trop au sérieux. Ensemble, avec l’aide de la police locale, nous ferons le travail. C’est une ville de villégiature estivale en plein essor… Il est temps de stocker ce nouvel économat flambant neuf. Pas en termes d’éclat, mais d’efficacité dans la sauvegarde des biens et des personnes.

Un officier au sol avec une expérience avérée. Lundi 2 juillet, Matthieu Valet a pris ses fonctions de commissaire de La Ciotat. Après le départ de Catherine Lenzi, il succède comme commandant à son adjointe, Séverine Lucienne, qui avait assuré “l’intérim” pendant neuf mois avec vigueur et célérité.

Il la félicita et la remercia. Agé de 32 ans, le chef de la sécurité publique de La Ciotat est titulaire d’une maîtrise en droit, économie et gestion avec une spécialisation en droit pénal et criminologie depuis 2016.

L’officier, originaire de Lille, a rejoint la Police nationale française en 2005 en tant qu’agent de paix stagiaire et a depuis gravi les échelons avec brio. Il a travaillé dur pour établir une personnalité policière solide afin d’atteindre son poste actuel de chef du service de la sécurité publique des Bouches-du-Rhône. Après avoir terminé sa formation à la prestigieuse École de Saint-Cyr-au-Mont-d’Or, il est promu au poste de commissaire de police.

C’est la première fois qu’il touche la région sud de la France. C’est aussi un nouveau départ dans votre vie professionnelle. Cela se fait en coordination avec le gouvernement local, les agences de services sociaux, les groupes communautaires et les groupes d’intérêt afin que chacun puisse se sentir en sécurité au quotidien. Nous nous engageons à adopter une approche de l’application de la loi qui met l’accent sur la coopération et la communauté en favorisant les liens et les relations étroites entre les citoyens.

Des citoyens de Ciota, qu’il avertit d’être à l’affût des menaces potentielles, en particulier à la lumière de la récente augmentation des détournements basés sur l’effraction. Surtout en été quand la population passe de 36 000 à 100 000.

Lorsqu’ils partent, ils peuvent bénéficier du programme Opérations Vacances Paisibles. Ils préviennent les autorités de leur absence, et “la police nationale et municipale effectue des passages réguliers devant leur résidence pour s’assurer que tout se passe bien”, comme il l’explique.

Et plus loin : « Il y a aussi des systèmes de surveillance et de participation des voisins, qui fonctionnent très bien dans les communautés soudées où nous avons accès à un réseau de citoyens informés. Afin d’apporter une réponse globale et locale à ces partenaires de plus en plus impliqués, nous organiserons des réunions d’information et de présentation avec les groupes d’intérêts locaux.

Le commissaire s’est engagé à maintenir ce dégel des relations entre la police et le grand public en mettant en place des dispositifs innovants (moyens de communication, canaux d’échange d’idées, possibilités de rencontres en face à face) dès la reprise des cours.

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